La prisonnière du Drakkar

Présentation de l'éditeur
Le village est en flammes, le sol jonché de cadavres. Après avoir mené leur raid, les Vikings s'apprêtent à regagner leurs drakkars. Pour la première fois, Erik, le fils bâtard du roi Wulfgar, a été autorisé à participer à une de ces expéditions sanglantes. Au loin, dans la mêlée, une jeune fille court, tentant désespérément d'atteindre la palissade. Elle pleure, terrifiée, trébuche sur un cadavre et s'évanouit. Un anneau d'or ceint sa chevelure. La fille du roi ! Les Vikings pourront en exiger une rançon colossale ! Erik soulève la jeune fille dans ses bras, la porte à bord du drakkar. Elle est d'une beauté irréelle, le teint diaphane, les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes. L'expression qu'elle aurait en faisant l'amour... Profondément troublé, Erik décide de garder pour lui seul la princesse inconnue...

Biographie de l'auteur
Née à Knoxville, Tennessee, Rebecca Brandewyne a fait des études de journalisme. A vingt-cinq ans, elle écrit son premier roman, suivi de tant d'autres qui ont tous connu un immense succès.


Mon avis :

Si vous cherchez la passion torride, les échanges savoureux, les perpétuelles « je t’aime, moi non plus, mais je t’aime quand même », passez votre chemin. Car, même si l’histoire d’amour entre Erik et Mélisande est toute jolie et pleine de tendresse, l’essentiel du livre n’est pas là. Du moins, pour moi.

"La prisonnière du Drakkar" se lit comme les Bardes racontaient les histoires d’Antan. Le récit de ses fabuleux guerriers qu’étaient les Vikings. Et je ne peux que m’incliner devant l’auteure tant les descriptions sur l’histoire de ce peuple du Nord et sur leur mode de vie sont foisonnantes. Un travail de Titans.

Tout nous est décrit, de la construction d’un Drakkar, aux cérémonies religieuses, en passant par leurs habitations et leur hiérarchie.

Est très présent également le paradoxe et la difficile transition entre les anciennes croyances et le christianisme. Mélisande, Galloise, est partagé entre sa foi envers le Christ (et la dure éducation religieuse de l’époque, où l’on jouait plus sur la peur de l’enfer que sur la miséricorde), et son sentiment d’appartenir encore aux anciens Dieux. D’autant plus en présence d’Erik de la Hache Sanglante, valeureux Viking et Jarl, ressemblant à un demi-dieu païen à la proue du « chant de la sirène » son navire …

[et de grâce, ne vous fiez pas à la couv immonde …)

Comment résister à l'histoire épique de Melisande et de Eric de la Hache Sanglante?

Je n'ai fait qu'une bouchée de ce livre où on découvre avec avidité le monde hiérarchique, politique et religieux des Vikings.

Les deux héros sont plein de contradictions et à l'opposé l'un de l'autre. Leur religion, entre monothéisme et polythéisme, leur langue, leur idée de la famille et du mariage concourent à les rendre très différent mais très vite ils deviennent indissociables l'un de l'autre et forment les "deux faces d'une même pièce".

Leur romance est loin d'être pépère et tranquille! De plus en plus d'embuches est disposées sur leur route et ils seront plusieurs fois séparés pour toujours mieux se retrouver!

je l'ai lu il y a longtempset c'est une auteure que j'aime beaucoup !
d'ailleurs l'un de mes livres préférés d'elle est "pour l'amour d'un commanchero" fabuleux je vous le recommande vivement si vous pouvez le trouvez

ça m'a l'air intéressant.
les derniers que j'ai lu il y a quelques temps été assez fades dans le sens que les histoires se ressemblent toutes, c'est assez linéaire, les personnages se ressemblent tous (la beauté fatale et le demi dieu), et puis la fille stupide qui n'écoute rien et fait ce qu'elle veut tout en voulant d'un guerrier à ses pieds raz le bol !!! en même temps les personnages féminins m'agace assez, elles veulent des choses qu'elles ne donnent pas.
je vais me laisser tenter en espérant être conquise comme pour mes premiers romans aventure et passion