Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
+2
Alexis
Asmodée
6 participants
Page 1 sur 1
Votre appréciation du livre
Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
de Bastien Lecouffe Deharme
Éditions du Riez
Collection Graffics
Sortie le 15 mars 2011
Format broché / 120 pages / Prix 30 €
Quatrième de couverture :
À la veille de l'hiver 2004, William Drum, ex-inspecteur de la police criminelle de Chicago, est exilé par ses supérieurs à Retrocity.
Cité déchue, fermée sur elle-même, que l'on tente de faire disparaitre des consciences depuis plus d'un demi-siècle.
A l'aide d'une machine à écrire trouvée dans son appartement, William se lance dans la rédaction de son journal de bord, et s'enfonce dans la ville.
Une ville hors du temps, que les citoyens ont depuis longtemps désertée.
Une ville où la mécanique remplace les organes humains.
Une ville malade et rongée par un étrange virus.
Une ville de laquelle on ne revient pas.
Cité déchue, fermée sur elle-même, que l'on tente de faire disparaitre des consciences depuis plus d'un demi-siècle.
A l'aide d'une machine à écrire trouvée dans son appartement, William se lance dans la rédaction de son journal de bord, et s'enfonce dans la ville.
Une ville hors du temps, que les citoyens ont depuis longtemps désertée.
Une ville où la mécanique remplace les organes humains.
Une ville malade et rongée par un étrange virus.
Une ville de laquelle on ne revient pas.
Editions du Riez
Site officiel du roman-graphique Retrocity
Site officiel du roman-graphique Retrocity
Avis d'Asmodée
Aussi beau soit-il, Memories of Retrocity n'est pas un simple livre. Le décrire comme une expérience à l'imaginaire débridé, fiévreuse dans son inspiration, serait plus adéquat. L'œuvre de Bastien Lecouffe Deharme flatte l'œil par une beauté de chair et de mécanique fusionnée. Elle immerge l'esprit dans les méandres d'une histoire sombre et glauque, digne des meilleures références de la SF et du roman noir. Memories of Retrocity se lit, s'admire, mais s'écoute aussi, grâce au CD qui invite le lecteur à se perdre dans les bas-fonds d'une cité en quarantaine, décrépite et figée dans le temps depuis les années 50. Le support audio propose une narration vocale d'extraits de textes, sur des airs souvent très jazzy et des sons d'ambiance oscillant entre le psychédélique et l'opressant.
Ce roman graphique raconte la descente aux enfers de William Drum, un ex-flic déchu de ses fonctions. Celui-ci doit enquêter sur la tentaculaire Corporation Hover qui administre entièrement la ville, de son économie à la religion. Le nouvel arrivant va découvrir un univers étrange dans lequel l'homme, la machine et les objets ont tendance à se fondre les uns aux autres. Une allégorie tout en prothèses artificielles de peau, d'écrous et de métal. Le responsable de cet impossible amalgame serait un virus du nom de Retro Processus, qui aurait poussé le monde extérieur à isoler la cité et la rayer des cartes en empêchant quiconque de s'en échapper.
Perdu dans cette ville froide et sans espoir, coupée du monde, William va faire la connaissance d'une femme. Au fur et à mesure que son investigation progresse, se dévoilera pleinement l'étendu du cauchemar qui est sien. De troublantes rencontres en révélations, il deviendra évident que Retrocity, sanctuaire hors du temps et affranchi de toute éthique, absorbe ses habitants pour ne faire plus qu'un avec eux. Une cité vivante peuplée de mourants et d'androïdes au regard transperçant les ténèbres.
L'histoire, sous forme de journal de bord tapé à la machine à écrire, est prenante à suivre. Une fois commencée, on tient à en connaître le dénouement. Bastien Lecouffe Deharme insuffle une poésie sombre et pessimiste à son univers poli dans les moindres détails. L'architecture insalubre, la mode évoquant les années 30… L'auteur/artiste déploie un réel savoir-faire pour mettre en mots et en images l'onirisme de sa créativité. Ses illustrations bénéficient d'un traitement photos, de montages et de dessins traditionnels qui rendent chaque page unique. Visuellement, le résultat est bluffant.
Les éditions du Riez enrichissent leur catalogue d'une pièce rare : un livre grand format, à la couverture en relief et au papier glacé. La mise en page est fouillée, stylée, donnant un ouvrage d'une qualité irréprochable. Si ce sont la chair humaine et la mécanique qui s'entremêlent dans Memories of Retrocity, le texte et les images se conjuguent de leur côté pour offrir une œuvre somptueuse. Un roman graphique qui séduira les amoureux d'esthétiques et d'atmosphères dans la veine de Blade Runner ou de Dark City.
Ce roman graphique raconte la descente aux enfers de William Drum, un ex-flic déchu de ses fonctions. Celui-ci doit enquêter sur la tentaculaire Corporation Hover qui administre entièrement la ville, de son économie à la religion. Le nouvel arrivant va découvrir un univers étrange dans lequel l'homme, la machine et les objets ont tendance à se fondre les uns aux autres. Une allégorie tout en prothèses artificielles de peau, d'écrous et de métal. Le responsable de cet impossible amalgame serait un virus du nom de Retro Processus, qui aurait poussé le monde extérieur à isoler la cité et la rayer des cartes en empêchant quiconque de s'en échapper.
Perdu dans cette ville froide et sans espoir, coupée du monde, William va faire la connaissance d'une femme. Au fur et à mesure que son investigation progresse, se dévoilera pleinement l'étendu du cauchemar qui est sien. De troublantes rencontres en révélations, il deviendra évident que Retrocity, sanctuaire hors du temps et affranchi de toute éthique, absorbe ses habitants pour ne faire plus qu'un avec eux. Une cité vivante peuplée de mourants et d'androïdes au regard transperçant les ténèbres.
L'histoire, sous forme de journal de bord tapé à la machine à écrire, est prenante à suivre. Une fois commencée, on tient à en connaître le dénouement. Bastien Lecouffe Deharme insuffle une poésie sombre et pessimiste à son univers poli dans les moindres détails. L'architecture insalubre, la mode évoquant les années 30… L'auteur/artiste déploie un réel savoir-faire pour mettre en mots et en images l'onirisme de sa créativité. Ses illustrations bénéficient d'un traitement photos, de montages et de dessins traditionnels qui rendent chaque page unique. Visuellement, le résultat est bluffant.
Les éditions du Riez enrichissent leur catalogue d'une pièce rare : un livre grand format, à la couverture en relief et au papier glacé. La mise en page est fouillée, stylée, donnant un ouvrage d'une qualité irréprochable. Si ce sont la chair humaine et la mécanique qui s'entremêlent dans Memories of Retrocity, le texte et les images se conjuguent de leur côté pour offrir une œuvre somptueuse. Un roman graphique qui séduira les amoureux d'esthétiques et d'atmosphères dans la veine de Blade Runner ou de Dark City.
Avis de Chani
"Memories of Retrocity" est un petit bijou. Voilà, c’est dit, comme ça on sait tous à quoi s’en tenir.
Intriguée par ce roman graphique, j’ai hésité à l’acheter puis me suis lancée, n’ayant jamais été déçue par une œuvre publiée par les Editions du Riez.
Et je suis une nouvelle fois aux anges.
Pour commencer, esthétiquement parlant, c’est un très bel ouvrage. La couverture est à la fois mate et vernie, l’illustration est magnifique, et au dos on trouve le sigle de la Compagnie Hover en relief. Le papier est de qualité, mettant les illustrations en valeur. Et ce n’est rien à côté du contenu, j’y viens.
Comme je l’ai dit précédemment, il s’agit d’un roman graphique, c'est-à-dire d’un mélange de textes et d’illustrations, les unes n’allant pas sans les autres, se complétant, pour nous proposer une histoire dans laquelle les mots s’associent aux images pour mieux les servir et inversement.
Nous allons suivre l’histoire de William Drum, ex-flic borderline qui a franchi la ligne et se retrouve envoyé en pénitence à Retrocity. Le but officiel est d’enquêter sur ce qui se passe dans cette ville coupée de tous, l’officieux est tout simplement de le mettre sur la touche.
William va, au cours de ses recherches, déambuler dans cette étrange métropole coupée du monde, où l’humain et le mécanique fusionnent. Ce phénomène, appelé Retro-Processus, est apparu dans les années 50 et agit comme un virus, l’humain finissant par faire corps avec l’objet inanimé qu’il a le plus chéri au cours de sa vie. Seul moyen d’y échapper, se faire greffer des parties mécaniques à la place de certains organes ou membres, l’intégration d’un peu d’inanimé dans la chair agissant comme une sorte de vaccin, empêchant la fusion totale.
Sur cette ville règne la compagnie Hover, société omniprésente, y produisant et y commercialisant tout, des céréales aux vélos, en passant par l’électroménager. C’est elle qui aurait, semble t’il, trouvé comment stopper, ou du moins limiter, le Retro-Processus. Qui est aux manettes derrière, quelles sont ses véritables motivations, nous n’en savons rien, et c’est ce que va tenter de découvrir William, entre autres choses…
Bastien Lecouffe Deharme nous propose une plongée dans un univers original sombre, triste et résigné, où chaque habitant renie une part de son humanité pour tenter de prolonger sa vie. Mais à quel prix… C’est un univers qui m’a beaucoup fait penser à Dark City pour le côté un peu glauque et l’ambiance, mais juste pour ces aspects, le reste étant totalement inédit et atypique. Le texte, censé être le journal de bord du personnage principal, est tapé à la manière d’une vieille machine à écrire à ruban renforçant l’atmosphère 50’s du livre.
Quant aux illustrations, elles sont sublimes, mélange de photographies, de dessins traditionnels et d’art digital, et viennent donner vie à la cité qui prend corps sous nos yeux et sublimer le texte. La ville s’ouvre à nous, désincarnée, elle exhibe ses citoyens, nous expose leur humanité perdue et leur fuite en avant, leur déni de leur état.
Et puis, pour immerger davantage encore le lecteur dans son monde, l’auteur propose une bande son pour accompagner son œuvre, extraits de texte, musique grinçante, oppressante, et gémissements de cette cité hors de temps et de l’espace achèvent de parfaire l’atmosphère propre à Retrocity.
Roman graphique brillant et tourmenté, « Memories of Retrocity » pointe du doigt notre société consumériste où l’humain est évalué selon son degré de possessions matérielles, où le désir d’acquérir les derniers gadgets technologiques passe avant même la satisfaction de nos besoins primaires (Maslow si tu m’entends…). Bastien Lecouffe Deharme tutoie le steampunk et le réinvente à sa manière, en faisant une œuvre innovante, cohérente et totalement réussie.
Intriguée par ce roman graphique, j’ai hésité à l’acheter puis me suis lancée, n’ayant jamais été déçue par une œuvre publiée par les Editions du Riez.
Et je suis une nouvelle fois aux anges.
Pour commencer, esthétiquement parlant, c’est un très bel ouvrage. La couverture est à la fois mate et vernie, l’illustration est magnifique, et au dos on trouve le sigle de la Compagnie Hover en relief. Le papier est de qualité, mettant les illustrations en valeur. Et ce n’est rien à côté du contenu, j’y viens.
Comme je l’ai dit précédemment, il s’agit d’un roman graphique, c'est-à-dire d’un mélange de textes et d’illustrations, les unes n’allant pas sans les autres, se complétant, pour nous proposer une histoire dans laquelle les mots s’associent aux images pour mieux les servir et inversement.
Nous allons suivre l’histoire de William Drum, ex-flic borderline qui a franchi la ligne et se retrouve envoyé en pénitence à Retrocity. Le but officiel est d’enquêter sur ce qui se passe dans cette ville coupée de tous, l’officieux est tout simplement de le mettre sur la touche.
William va, au cours de ses recherches, déambuler dans cette étrange métropole coupée du monde, où l’humain et le mécanique fusionnent. Ce phénomène, appelé Retro-Processus, est apparu dans les années 50 et agit comme un virus, l’humain finissant par faire corps avec l’objet inanimé qu’il a le plus chéri au cours de sa vie. Seul moyen d’y échapper, se faire greffer des parties mécaniques à la place de certains organes ou membres, l’intégration d’un peu d’inanimé dans la chair agissant comme une sorte de vaccin, empêchant la fusion totale.
Sur cette ville règne la compagnie Hover, société omniprésente, y produisant et y commercialisant tout, des céréales aux vélos, en passant par l’électroménager. C’est elle qui aurait, semble t’il, trouvé comment stopper, ou du moins limiter, le Retro-Processus. Qui est aux manettes derrière, quelles sont ses véritables motivations, nous n’en savons rien, et c’est ce que va tenter de découvrir William, entre autres choses…
Bastien Lecouffe Deharme nous propose une plongée dans un univers original sombre, triste et résigné, où chaque habitant renie une part de son humanité pour tenter de prolonger sa vie. Mais à quel prix… C’est un univers qui m’a beaucoup fait penser à Dark City pour le côté un peu glauque et l’ambiance, mais juste pour ces aspects, le reste étant totalement inédit et atypique. Le texte, censé être le journal de bord du personnage principal, est tapé à la manière d’une vieille machine à écrire à ruban renforçant l’atmosphère 50’s du livre.
Quant aux illustrations, elles sont sublimes, mélange de photographies, de dessins traditionnels et d’art digital, et viennent donner vie à la cité qui prend corps sous nos yeux et sublimer le texte. La ville s’ouvre à nous, désincarnée, elle exhibe ses citoyens, nous expose leur humanité perdue et leur fuite en avant, leur déni de leur état.
Et puis, pour immerger davantage encore le lecteur dans son monde, l’auteur propose une bande son pour accompagner son œuvre, extraits de texte, musique grinçante, oppressante, et gémissements de cette cité hors de temps et de l’espace achèvent de parfaire l’atmosphère propre à Retrocity.
Roman graphique brillant et tourmenté, « Memories of Retrocity » pointe du doigt notre société consumériste où l’humain est évalué selon son degré de possessions matérielles, où le désir d’acquérir les derniers gadgets technologiques passe avant même la satisfaction de nos besoins primaires (Maslow si tu m’entends…). Bastien Lecouffe Deharme tutoie le steampunk et le réinvente à sa manière, en faisant une œuvre innovante, cohérente et totalement réussie.
Dernière édition par Asmodée le Sam 16 Avr 2011 - 16:45, édité 1 fois
Asmodée- Rédacteur Démoniaque
- Nombre de messages : 515
Age : 46
Date d'inscription : 09/05/2010
Re: Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
La BANDE ANNONCE de notre prochaine publication pour la fin du mois...
^_^
http://vimeo.com/20719973
^_^
http://vimeo.com/20719973
Re: Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
Avis ajouté en début de post
Asmodée- Rédacteur Démoniaque
- Nombre de messages : 515
Age : 46
Date d'inscription : 09/05/2010
Concours MEMORIES OF RETROCITY
Concours "Memories of Retrocity"
Un tirage au sort désignera 5 gagnants parmi les futurs acheteurs qui commanderont leur exemplaire avant le 28 Octobre (date du vernissage de l’expo/dédicaces). Ces 5 personnes recevront un tirage original de l’illustration de couverture, au format 30×40 cm, signé, numéroté et différencié par l'auteur !
Les details ici: http://www.roman-noir.com/memories-of-retrocity/concours-memories-of-retrocity/
Un tirage au sort désignera 5 gagnants parmi les futurs acheteurs qui commanderont leur exemplaire avant le 28 Octobre (date du vernissage de l’expo/dédicaces). Ces 5 personnes recevront un tirage original de l’illustration de couverture, au format 30×40 cm, signé, numéroté et différencié par l'auteur !
Les details ici: http://www.roman-noir.com/memories-of-retrocity/concours-memories-of-retrocity/
Re: Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
Je veux !! J'adore ses illustrations !!!
Pitié faites que je sois tirée au sort...
Pitié faites que je sois tirée au sort...
Re: Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
Pour ceux qui ne craignent pas les ambiances glauques, à lire absolument. Les illustrations sont magnifiques et même si le texte manque à mon avis de cohérence sur le fond, l'ambiance est très bien rendue.
Re: Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
Mon avis :
Ce roman est tout d'abord un magnifique livre avec des dessins surprenant. Bien avant de commencer la lecture j'ai été époustouflé par le style (rétro-trash) et l'étrangeté des dessins. Et puis, j'ai décidé de le commencer parce que le résumé est vraiment tentant et étrange. J'ai pas du tout été déçu, l'histoire est incroyable, le monde dans lequel est plonger Will est sale, malhonnête, avec des gens infectés par un virus irréel dont on n'imagine même pas. J'ai tout de suite été plongé dans la vie tragique de Will. La découverte de la ville de Retrocity, les gens autour et l'intrigue sur la mécanique qui remplace les organes humains, tout m'a donné des frissons. En plus chacun des dessins nous donnent un aperçu de ce que voit Will, et l'ont rentre tout de suite dans la peau du personnage. Après j'ai été très étonné du final même si les premiers lignes nous le révèle. J'ai aussi beaucoup apprécie le style d'écriture et la présentation des pages du journal.
Je vous conseille ce roman qui a été une magnifique découverte. J'aimerai beaucoup lire et voir d'autres livres de cet auteur.
Ma note : 9.5/10
Ce roman est tout d'abord un magnifique livre avec des dessins surprenant. Bien avant de commencer la lecture j'ai été époustouflé par le style (rétro-trash) et l'étrangeté des dessins. Et puis, j'ai décidé de le commencer parce que le résumé est vraiment tentant et étrange. J'ai pas du tout été déçu, l'histoire est incroyable, le monde dans lequel est plonger Will est sale, malhonnête, avec des gens infectés par un virus irréel dont on n'imagine même pas. J'ai tout de suite été plongé dans la vie tragique de Will. La découverte de la ville de Retrocity, les gens autour et l'intrigue sur la mécanique qui remplace les organes humains, tout m'a donné des frissons. En plus chacun des dessins nous donnent un aperçu de ce que voit Will, et l'ont rentre tout de suite dans la peau du personnage. Après j'ai été très étonné du final même si les premiers lignes nous le révèle. J'ai aussi beaucoup apprécie le style d'écriture et la présentation des pages du journal.
Je vous conseille ce roman qui a été une magnifique découverte. J'aimerai beaucoup lire et voir d'autres livres de cet auteur.
Ma note : 9.5/10
Alys- Sorcier confirmé
-
Nombre de messages : 316
Age : 33
Date d'inscription : 20/01/2010
Re: Memories of Retrocity, Le journal de William Drum
L'objet livre est juste magnifique Rien que pour les images, ça vaut le coup, si vous ne craignez pas les ambiances glauques. Le récit est plus léger et manque parfois de cohérence (en même temps c'est le journal d'un homme qui n'a plus toute sa raison, donc ça se tient quand même) mais colle parfaitement aux images.
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